À quelle fréquence faut-il se laver les cheveux ?

Tous les jours, 3 fois par semaine, moins ? De peur qu’ils ne paraissent gras, nous avons toutes tendance à très souvent laver nos cheveux. Même s’il n’y a pas de règle absolue ou contre-indication en la matière, (tout dépend de la nature des cheveux, de l’environnement, de votre mode de vie) il est préférable d’espacer au maximum les shampooings et surtout, d’utiliser les produits adaptés. Voici les conseils Camille Albane pour un entretien au top de votre chevelure.

Le shampooing gommant

Une fois par semaine, utilisez le Shampooing gommant pour cuir chevelu étouffé Camille Albane. Sa formule enrichie en zinc, thé vert et micro billes de jojoba à l’action détoxifiante, vous permettra de gommer les impuretés, d’éliminer les pellicules et retarder leur arrivée*. Les cheveux gras regraissent eux moins vite et les cuirs chevelus secs sont plus confortables.

Quel produit pour quel type de cheveu ?

Il est primordial de bien cibler la nature et les besoins de vos cheveux. Si ces derniers ont tendance à vite regraisser, préférez un soin doux formulé à base d’argile par exemple. Si au contraire, votre cuir chevelu est sec, optez pour un shampooing nourrissant. N’oubliez pas d’accompagner votre shampooing d’un après-shampooing ou masque pour les nourrir intensément et leur redonner un maximum d’éclat. Il en existe pour tous types de cheveux et rien ne vous empêche de combiner un shampooing et masque différents si vos cheveux possèdent plusieurs problématiques (utiliser un shampooing volumateur puis un masque pour cheveux secs par exemple).

Le shampooing sec

Si vos cheveux vous semblent un peu gras mais que vous ne souhaitez pas les laver entièrement, vous pouvez utiliser ponctuellement le Shampooing sec Camille Albane. Celui-ci vous permettra d’absorber l’excès de sebum en quelques pulvérisations, sans mouiller vos cheveux.

* Test d’usage réalisé sur 10 personnes déclarant avoir le cuir chevelu sec et 12 déclarant avoir le cuir chevelu gras pendant 21 jours – résultats d’autoévaluation.